mercredi 9 avril 2008

semaine du 9 avril

Suite aux présentations de Movie Maker, j'ai constaté que je pourrai effectivement intégrer cette approche dans ma salle de classe. Puisque j'enseigne l'anglais, il sera facile pour moi de demander aux élèves de faire un vidéo par rapport à un livre qu'ils ont déjà lu ou encore par rapport à un livre qu'on lit en classe. Plus précisément, les élèves auraient la tâche d'improviser une scène d'un livre de leur choix. Les élèves auront surement besoin de se sensibiliser à Movie Maker, mais grâce à mes nouvelles connaissances, je me sens assez compétentes de transmettre cette information. Enfin, je pense que Movie Maker est un logiciel très intéressant qui permet aux élèves de personnaliser leurs connaissances. Aussi, je pense que ce projet pourrait motiver les élèves a participer, car le tout se fait selon leur intérêts et leurs idées. Enfin, ce logiciel permet réellement aux élèves de construire leurs apprentissages ainsi que de le présenter leurs apprentissages de façon intéressante et créative.

lundi 7 avril 2008

semaine du 7 avril

Movie Maker

Suite à l'activité de cette semaine, j'ai réfléchi par rapport au façon que je pourrais intégrer "movie maker" dans ma salle de classe. Puisque je n'avais jamais entendu parler de ce logiciel avant, ce dernier fut un gros apprentissage pour moi. En réalité, j'ai constaté que j'ai encore beaucoup à apprendre par rapport au TIC. Je pense qu'il est important d'agrandir nos connaissances dans ces nouvelles technologie afin de susciter l'intérêt des jeunes et de les garder motivés. Plus précisément, les élèves aiment bien travailler avec les ordinateurs, donc c'est la tâche de l'enseignant de trouver des approches intérêssentes, telle que l'utilisation de Movie Maker. Enfin, je m'engage à approfondir mes connaissances dans les TICs afin d'offrir le plus de possibilité à mes futurs élèves.

mercredi 2 avril 2008

semaine du 1er avril

Cette réflexion se rapporte aux nouveaux changements annoncés par le ministre de l'éducation, Kelly Lamrock, le 14 mars dernier, c'est-à-dire l'élimination du programme de français de base à l'élémentaire. Je pense que cette décision peut entraîner plusieurs conséquences néfastes, non seulement aux apprenants d'une langue seconde, mais aussi aux bilinguisme de notre province. Plus précisément, les jeunes ne seront pas motivés à apprendre le français à l'âge de 11 ans. Donc, lorsqu'il sera le temps, en sixième année, de choisir entre le programme de français de base et le programme de français intensif, j'estime que les élèves seront beaucoup plus tenté de suivre le premier. Ainsi, le pourcentage de gens parlant la langue française au Nouveau-Brunswick pourra gravement diminuer.
Venant d'une famille d'enseignant de l'immersion précoce à l'élémentaire, je peux affirmer que cette décision aura un effet sérieux par rapport aux nombres d'enseignants de la langue française dans les écoles anglaises. En effet, ces nouveaux changements indiquent que les écoles du primaire anglaises n'auront pas besoin autant d'enseignant français, car l'immersion ne débute qu'en 5ème année. Conséquemment, les enseignants de la langue française seront obligés d'enseigner leurs matières dans la langue anglaise, ce que certains refusent de faire.
Enfin, je suis complètement en désaccord avec la décision du ministre pour une multiple de raisons qui sont évidemment trop longue à énumérer. Selon moi, il est primordial que les français, non seulement du Nouveau-Brunswick, mais du Canada, soient fiers de leur langue. En effet, je pense qu'on devrait l'affirmer et la propager le plus possible, par exemple obliger le service français.